THEORIE DES HAUTES DILUTIONS ET HOMOEOPATHIE :
CONSIDERATIONS THEORIQUES ET PRATIQUES.

Y.LASNE, R.CONTE, H.BERLIOCCHI, G.VERNOT
Conférence de Yves Lasne
CEIA* Novotel Bercy 7 Décembre 1996
* Centre Européen d'Informatique et d'Automation

INTRODUCTION:
En tant que liminaire, introduction, généralités, nous dirons que l'ouvrage intitulé " Théorie des Hautes Dilutions Aspects Expérimentaux (THD)" est un ouvrage multidisciplinaire au sens vrai du terme, comme beaucoup de critiques scientifiques nous l'ont déjà fait savoir.
Il ne s'agit pas d'une simple juxtaposition de domaines de la Science: mathématiques, physique, statistique, biologie.....
C'est cela d'une certaine façon, mais c'est aussi une imbrication cohérente de l'ensemble de ces disciplines.
Le livre a donc été salué comme un ouvrage multidisciplinaire, peut être le premier.
Cet ouvrage et les travaux qui le constituent ont été réalisés par des "jeunes" (environ 70 ans de travail à eux quatre) et ont abouti à un travail personnalisé effectué en dehors des horaires et en dehors des subventions.
Ce dernier point mérite également d'être signalé car, comme dirait Rolland Conte, il nous donne en contre-partie une grande liberté.

Aujourd'hui, je me place surtout au niveau biologique et médical.
Néanmoins, si on se place au niveau de la médecine et en particulier au niveau d'une application de la THD qui est l'Homéopathie, cet ouvrage vient comme une protection, une ombrelle, un pyramidion qui, entre la non-science et la science, situe les bases de ce domaine jusqu'à présent magique.
Cet ouvrage aborde l'Homéopathie sous la forme de ce que nous avons appelé les 3 P.
Que sont ces 3 P?
- c'est tout d'abord le Produit que nous avons abordé dans les chapitres 2, 3 et 4,
- le Patient, abordé dans les chapitres 5 et 6,
- enfin, le Praticien. Le praticien n'est pas dans cet ouvrage.
Il figure, si l'on peut dire, dans le deuxième tome de la THD ou le deuxième livre qui est déjà quasiment rédigé
(Théorie des Hautes Dilutions: Application au vivant)

Pourquoi ces auteurs, indépendants à l'origine, ont-ils abordé ce domaine des Hautes Dilutions?
On peut le résumer par cette phrase d'Hahnemann, qui n'était pas forcément la nôtre.
Nous nous sommes intéressés à ce problème parce qu'il posait une question bête, toute simple pour un chercheur:
Pourquoi ça marche? Comment ça marche?.
Hahnemann l'avait déjà dit: Ce qui arrive réellement doit être au moins possible. Cela a été notre conviction à tous les quatres pendant beaucoup d'années, chacun étant dans son propre coin.
C'est la réunion des recherches faites avec les moyens personnels de chacun des auteurs, qui a permis de faire la synthèse présentée dans cet ouvrage..

CONSIDERATIONS THEORIQUES :

Quelle est la nuance liée à l'introduction de l'axiome de Solovay?

La partie de gauche de cette figure représente l'axiome du choix qui, comme vous le savez et comme son nom veut le dire, au niveau des ensembles, c'est OUI ou NON.
On appartient ou on n'appartient pas.
Cet axiome repose aussi sur le tiers exclus:
c'est OUI ou c'est NON. En quelque sorte, vous n'avez pas le choix du choix.

Qu'est-ce que cela donne au point de vue de la nature, puisque c'est notre propos d'aujourd'hui.
Vous prenez la croissance d'un arbre, sous cet aspect, il n'y a pas de bifurcations c'est-à-dire que, au niveau du tronc, il y a des subdivisions qui, quoi que l'on fasse sont bien réelles, (vous avez tous regardé des arbres).
Il manque, du point de vue modélisation axiomatique, des tas de portions.
On peut regarder sur la diapositive qui est beaucoup plus jolie:
l'arbre de l'axiome du choix ou du tiers exclus est construit de cette façon.
C'est une espèce assez rare bien que ce soit la plus répandue.
L'alternative, maintenant offerte avec l'axiome de Solovay, est de se rapprocher de la description de la nature.
Comment ? Dans certaines situations, on a imagé l'influence sur l'arbre de son environnement, vous voyez que les couleurs sont à l'intérieur du tronc.
C'est la démarche classique de la biologie:
on analyse à l'intérieur mais on ne veut pas savoir ce qui s'est passé, ce qui a provoqué éventuellement le phénomène.
Ici on baigne dans l'environnement au sens large du terme et on trouve une forme qui se profile.
De A il va y avoir B et C comme tout à l'heure bien sûr puisque c'est le même arbre, mais avant on ne transitait pas:
on coupait, c'était discret, c'est la chimie.
On combine des matières et on essaye de voir comment cela fonctionne.
Cela fonctionne très mal comme vous le savez.
Dans la théorie des Ethers et l'axiome de Solovay, lorsque en A les conditions sont réunies: "environnement + arbre", l'alternative n'est plus seulement à gauche ou droite, n'est plus seulement OUI ou NON mais aussi OUI et NON, c'est-à-dire une situation qui a été baptisée:
situation d'indécidabilité. Etant indécidable, les deux se rayent.
Ceci est un point fondamental qui a permis la modélisation ultérieure des processus.
Nous allons voir l'arbre de Henri Berliocchi. Convenez qu'il ressemble quand même beaucoup plus à ce que l'on a l'habitude de voir.
Cette indécidabilité, que vous voyez illustrée à chaque point, correspond à la réalité naturelle que l'on observe, à ce que l'on appelle les embranchements ou bifurcations.
Il est clair que l'on peut influer sur cette décision d'indécidabilité par des moyens externes: c'est l'individu qui provoque cette bifurcation.
Mais on peut aussi intervenir pour rendre décidable cette zone de bifurcation: en taillant, en mettant un manchon pour faire pousser si on garde notre exemple de l'arbre: c'est l'une des premières constructions fondamentales.
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L'autre point important que nous allons voir illustré, est une reprise, si on peut dire, de la notion d'espace temps.
L'espace temps, pour la majorité des gens, est actuellement considéré de cette façon, c'est-à-dire par les trois dimensions spatiales, la flèche du temps déterminant pour toute matière un cône du futur et son onde d'accompagnement.
Il est postulé que cet espace temps est homogène. Figure 1 ci-dessous

L'alternance ou l'alternative, ou peut être les deux, on va voir, est de substituer à cet espace temps lisse et homogène, un espace temps non homogène. C'est la nuance pour nous, du point de vue symbolique.Figure 2 ci-dessous
A l'intérieur du cône du futur de l'espace temps, il n'y a plus de matière, il n'y a que l'onde qui accompagnait cette matière. A l'extérieur du cône du futur il y a, comme tout à l'heure, la matière et son onde

Cliquez pour agrandir Figure1 Cliquez pour agrandir Figure2
Figure 1 Figure 2

Qu'est-ce que la Statistique Contonienne?
C'est une statistique déterministe, contrairement à beaucoup de celles que vous connaissez, qui traduit l'apparence laissée par un système dynamique dans son milieu de mesure par une fréquence appelée contonienne.
(Voir "Théorie des Ethers". Henri Berliocchi. Editions Economica, Paris, 1994)
Décomposons les étapes.
En pratique, la statistique contonienne, pour nous, se décompose tout simplement en 2 étapes:
Ce que l'on appelle le calcul du lagrangien.
Ici vous avez des courbes observées expérimentalement et qui étaient dites auparavant semi-chaotiques ou chaotiques.
Le lagrangien consiste à calculer des surfaces, des aires sous la courbe par la méthode des trapèzes selon le procédé imagé présenté ci-après. Le signal, en fonction des hauteurs de dilution-dynamisation, du CH, l'intégrale ou la somme par les trapèzes des surfaces sous la courbe est la somme des sommes représentées ici.
Comme prévu au niveau théorique lorsqu'il s'agit d'un processus contonien, le lagrangien est linéaire .
Il appartient à une famille de courbes linéaires.
Il est linéaire à un point extrêmement puissant au sens statistique classique puisque le coefficient de corrélation R2 est quelques fois carrément égal à 1, quelques fois égal à 0,9999998.
C'est une linéarité quasiment stricte lorsque ce processus est contonien.

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On est au courant, on ne va pas recommencer 100 fois. OK les gars, c'est l'heure, on peut y aller. Voilà comment est perçue par les enfants la statistique contonienne qui, effectivement, convenez-en, apparaît extrêmement simple dans sa réalisation pratique.
Si ce qui lui a donné naissance est pour nous extrêmement compliqué, sophistiqué, sa réalisation pratique est quasiment plus simple que ce que vous avez l'habitude de faire, c'est-à-dire:
moyenne arithmétique, variance et écart-type.
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L'application de cette statistique

Cette possibilité de passer d'un monde chaotique dans lequel il est difficile de s'y retrouver (peut être bien qu'une courbe est plus haute que l'autre mais qu'est-ce que cela veut dire?), commence à se matérialiser d'une façon tout à fait stricte, tout à fait mathématique et élégante et vous commencez à concevoir ce que cette statistique va permettre.

Au delà de cet aspect du lagrangien, son calcul a pour nous une conséquence pratique, car il permet de contrôler le bon fonctionnement de la manipulation: si on a une rupture de pente au niveau de la filiation des CH, c'est qu'il s'est passé quelque chose au niveau des abscisses.
En général, cela peut-être un problème au niveau de la dynamisation, une modification de la fréquence, une modification de l'énergie qui fait que les pas ne sont plus réguliers au sens énergétique du terme, ce qui est, il faut bien le dire, sous-jacent à la notion de CH qui correspond à la fois à un facteur de dilution et à une énergie de dynamisation reproduite chaque fois de la même façon entre les différents CH.
Ce point est fondamental pour obtenir ce type de phénomènes, mais on peut aller plus loin.

La statistique contonienne permet de calculer une grandeur H, appelée la fréquence contonienne du processus dynamique traduite par son apparence telle que nous pouvons la voir.
Nous n'avons pas accès au système dynamique fondamental lui-même mais nous y avons accès, bien sûr, par ses apparences qui vont se répercuter dans chaque système de mesure.

Cette fréquence contonienne, qui est littéralement très simple puisque, au point de vue formulation elle est égale à 2 PI divisé par le lagrangien pour la valeur X maximum, est aussi une fréquence au sens des dimensions puisque, du point de vue physique, c'est l'inverse de la constante de Planck qui, je vous le rappelle, s'exprime en joules*seconde.
L'inverse des joules*seconde nous donne bien une équation aux dimensions qui nous ramène à quelque chose par seconde et donc, par définition, à une fréquence au sens physique du terme.

La possibilité de calculer cette valeur pour chacune des manipulations, ouvre la voie à un champ immense de possibilités de combinaisons, de comparaisons des processus constatés et mesurés. Il y a une fréquence que l'on peut calculer, des phases de processus et on peut comparer les phases entre plusieurs expériences, comparer les phases entre différentes substances et ainsi de suite. On retombe alors dans un domaine très développé aujourd'hui et que vous connaissez bien: celui de la manipulation des ondes ou des télécommunications.

Il existe donc tout un arsenal pratique, mis en musique par Gabriel Vernot, qui permet de prévoir, à partir de toutes ces fréquences et des phases de ces ondes rémanentes, les contrôles de qualité puisque avec 2 apparences qui, à l'oeil, étaient chaotiques, il était jusqu'à présent difficile de dire si les résultats obtenus pour une substance donnée étaient reproductibles.
Maintenant on peut le faire. On peut comparer, de façon stricte, 2 aspects semi-chaotiques d'une même substance.

CONSIDERATIONS PRATIQUES :
 
Qu'est-ce qui se passe dans les solutions homéopathiques?
Il y a dilution, au 1/10, 1/100, au 1/1000... peu importe. Le volume "solvant+soluté" restant constant; la matière contenue initialement dans le solvant disparaît en partie. Lorsque cette matière disparaît, il y a ce que l'on appelle une bifurcation spatio temporelle qui va donner naissance, au niveau quantique, à ce que nous avons baptisé des trous blancs.

Que sont ces trous blancs, du point de vue conceptuel?
Un trou blanc, c'est quelque chose d'immatériel, de mathématique. Ce sont des champs, au sens physique du terme. Ces champs vont exprimer les propriétés de la matière qui a disparu. Le mécanisme qui se réalise est le suivant. Toute une succession, ou une cascade de phénomènes quantiques, va se produire: dilution, disparition d'une matière, apparition ou génération d'un champ physique, trous blancs. Un neutron de la solution, suivant sa ligne d'univers selon Einstein, va se trouver en contact avec le champ physique émanant de la substance ayant été diluée.

Henri Berliocchi a démontré que cette situation était, pour la particule, indécidable. Elle ne sait pas si elle va s'annihiler dans le champ ou si elle va continuer sa ligne d'univers. Ce moment d'hésitation fait qu'elle se dématérialise, dématérialisation qui est liée à la dilution et laisse dans le solvant des champs physiques, des singularités au niveau quantique.

Il y a les succussions, deuxième opération que vous connaissez bien au niveau homéopathique, qui vont multiplier les situations d'indécidabilité.
Vous voyez bien la décomposition au niveau physico-mathématique des deux phénomènes qui, je vous le répète, sont en équation et formalisés jusqu'au point le plus bas.
Les conséquences de ces deux étapes: dilution-dynamisation ou dilution-succussion, sont donc une modification complète du solvant dans lequel la matière a disparu. Attention, ce n'est pas n'importe comment.

Comment peut-on lever l'indécidabilité?
 
Première remarque pratique à ce niveau théorique: cette indécidabilité peut en effet être levée.
- Par d'autres champs physiques: l'irradiation solaire de la dilution, la chaleur au delà de 120 C cela vous semble bizarre puisque l'eau bout à 100 C, mais en fait c'est 120°C qui annulent le phénomène).
- Par des secousses trop énergétiques au niveau de la phase de succussion qui vont pouvoir aussi modifier la zone d'indécidabilité et la rendre décidable, déterministe,c'est-à-dire que l'on va revenir au solvant lui-même.

La possibilité quantique est donc décrite mais, et on retombe toujours à la pratique, dans une espèce d'étroite bande énergétique.

On peut fabriquer ces trous blancs et leurs conséquences mais on peut aussi les détruire, heureusement pour nous dans un sens.
Vous savez que la matière disparaît dans tous les milieux en permanence: dans les fleuves par exemple et il est clair que l'irradiation solaire, à chaque fois, remet les pendules à zéro.
On sait d'ailleurs, par des moyens chimiques, que le soleil stérilise l'eau.
En fait, les champs apportés par l'irradiation solaire, viennent concurrencer, éteindre les champs physiques provoqués par la dilution.

Quelles sont les conséquences au niveau du milieu qui nous intéresse?.

Ces conséquences existent dans tous les milieux mais, ici, nous nous sommes focalisés sur le problème des dilutions homéopathiques.
On va considérer un milieu aqueux ou alcoolique, comme vous les utilisez.
La dématérialisation, c'est l'exemple du neutron que l'on a pris tout l'heure mais qui, illustré de cette façon, n'est pas un neutron au sens classique du terme que vous connaissez.
Ce neutron va se désintégrer selon un schéma tout à fait comparable à celui que vous connaissez bien au niveau des particules classiques.
Vous vous souvenez tous que le neutron peut donner un proton+ un électron + un antineutrino avec les équilibres que vous connaissez.

Par analogie, et faire passer le message, nous écrivons cette première équation dans laquelle le milieu aqueux se trouve - en conséquence de cette création, de cette dilution et de cette succussion- envahi par des entités qui ne sont pas vraiment des protons mais qui peuvent l'être, et que l'on a appelé des Hyperprotons (ou des protons virtuels) + des électrons virtuels, + ce que nous avons appelé un antigraviton, et non pas un antineutrino, ceci pour traduire et illustrer l'influence de la gravitation sur les phénomènes d'échange matière-énergie.
Les réactions possibles de propagation de tous ces phénomènes ont donné naissance à plusieurs possibilités de matérialisation de ces Hyperprotons dans le milieu aqueux ou dans le milieu biologique.

La réaction classique: association de 2 Hyperprotons donne naissance à un proton ou atome d'hydrogène, avec une émission d'un rayonnement Bêta dit moins (négatif) qui est un électron accéléré.
Si on est proche de l'unité de masse atomique, dM proche de 1, on pourra avoir formation dans le solvant de deutérium H1, voir de tritium H 3.
Ces équations ont été vérifiées expérimentalement.
On a pu détecter et montrer que, au cours du temps, en quantité bien sûr infimes mais néanmoins mesurables avec les moyens actuels, du tritium était produit par les solutions homéopathiques.
Nous allons maintenant parler des extensions du phénomène qui donnent de plus en plus l'aspect auquel je veux vous amener: démarrage, propagation, ondulation, onde rémanente.
Il est toujours possible bien sûr de revenir aux interactions classiques que vous connaissez au niveau des milieux biologiques ou chimiques.
Souvenez-vous, au lycée ou en médecine, dans toutes les réactions biochimiques ou chimiques il fallait toujours équilibrer les protons. Parfois cela donnait des 5/11, des 3/2, des 4/3 de proton pour équilibrer les deux membres des réactions.
C'est-à-dire, si vous réfléchissez bien, les protons étaient omniprésents dans vos cours de biochimie et de chimie, alors même qu'on leur donnait un rôle tout fait insignifiant, si ce n'est, de temps en temps, pour les variations de PH.
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Nous, nous prenons l'inverse, et on en fait le phénomène fondamental des régulations.
Nous dirons que, tout compte fait: dilution, trous blancs, champs physiques, hyperparticules virtuelles, la fin de tous ces mécanismes peut être illustrée par la dernière équation qui traduit que, l'ensemble de la matière traduite par ces champs physiques, trous blancs, donnant cette onde rémanente, cette onde doit pouvoir être analysée par des émissions de type Bêta moins.
Les émissions Bêta moins, vous l'avez vu, découlent de tous les échanges au niveau du solvant, du champ physique spécifique de la matière ayant disparu et correspondent à une multitude de spectres que l'on a pu détecter.
La somme de ces spectres, qui varie avec la gravitation comme on a également pu le montrer, est l'image de la matière initiale qui a disparu.
En pratique, deux méthodes au moins vont permettre, et ont déjà permis, de mesurer expérimentalement les conséquences de cette théorie, méthodes qui s'intéressent au changement des protons au niveau des solutions aqueuses ou alcooliques:

-la RMN Relaxation Magnétique Nucléaire dont je vous rappelle simplement le principe. Certains atomes de spin impair, notamment le proton H1, ont une susceptibilité magnétique, ce qui veut dire que, si on les place dans un champs magnétique homogène et que l'on irradie ce milieu par des ondes de radiofréquence, les noyaux, dont le proton, ayant une susceptibilité magnétique vont être mis en mouvement, vont s'orienter. On va interrompre le faisceau de radiofréquences et mesurer le temps de retour de cet atome à son équilibre, d'ou le nom de Temps de Relaxation qui veut dire exactement ce qu'il exprime. Le proton est là, il est sensible aux ondes de radiofréquence et au champ magnétique, on le redresse, on arrête, il redescend et on mesure ce que l'on appelle la FID (Free Induction Decay) qui est liée à une excitation par la bobine qui était émettrice et devient réceptrice des signaux magnétiques. Ce temps de relaxation est donc un reflet de la dynamique des relations entre les protons de l'eau.
- les compteurs de radioactivité dits compteurs Bêta. Si l'émission de rayonnements Bêta moins existe réellement, on doit pouvoir mesurer ces rayonnements.
Effectivement, ils sont mesurables, tant d'ailleurs au niveau des solutions homéopathiques que des individus par les technologies classiques spécifiques de ces mesures que sont les compteurs de radioactivité dits Bêta.
Ces deux points correspondent donc à des mesures que l'on peut effectuer.
Réflexion de Hahnemann
Ce que l'on a évoqué tout à l'heure, Hahnemann l'avait déjà formulé à sa façon. Il avait bien décomposé le phénomène et nous, nous l'avons mesuré.
Après l'avoir décrit, formalisé, venons-en maintenant à la pratique.
Samuel HAHNEMANN
Cliquez pour agrandir l'image Prenons différentes solutions homéopathiques 8CH, 18CH, 14CH, 29CH. On a décomposé les étapes. D'abord une dilution que vous voyez ici, dilution au 1/100 et dont on a mesuré le temps de relaxation dit spin-spin ou T2 en utilisant la méthodologie de la RMN. Puis on a mesuré à nouveau ce temps de relaxation T2 après dilution, sans faire aucune agitation, la dilution et les manipulations étant faites le plus doucement possible.
Pour ce qui concerne les solutions en deça du nombre d'Avogadro, on en est sûr car elles ont été fabriquées "maison", la quantité de molécules mises initialement dans la solution étant parfaitement connue.
Que remarquez-vous au niveau des mesures?

Vous voyez que dans les solutions ou il y a encore de la matière, l'expression du phénomène se fait tout seul. Pourquoi? Si vous avez bien suivi le début de l'exposé, on a encore dématérialisé, c'est-à-dire que l'on a encore provoqué l'arrivée de trous blancs puisqu'il y avait encore de la matière dans la précédente solution. Le phénomène se produit au niveau primaire, c'est-à-dire au niveau des champs physiques des trous blancs.
Pour les dilutions au delà du nombre d'Avogadro, lors de leurs dilutions, il n'y a plus de nouvelles créations de trous blancs. Il y a transfert des trous blancs de la solution précédente mais il y a par contre toujours une dilution des particules virtuelles que l'on a appelé les Hyperprotons.
Néanmoins, vous voyez que, sans secousses, les différences sont extrêmement importantes entre une simple dilution d'une 8CH et une simple dilution d'une 15, d'une 19 ou d'une 30CH.

Que fait la succussion dans ces différents cas de figure?

On a montré tout à l'heure que la succussion multipliait les événements d'indécidabilité et de dématérialisation, multipliaient la communication de l'onde rémanente au niveau du solvant.
Effectivement, 1er cas de figure, on multiplie, on amplifie le signal au niveau du T2.

Jusqu'à Avogadro, on augmente encore le rendement de façon étonnante de la propagation de l'onde rémanente dans le milieu. Même chose, mais d'une intensité moindre néanmoins, pour les autres solutions.
On voit que, physiquement, on peut effectivement, en accord avec la théorie, décomposer la préparation de la solution homéopathique en deux étapes apparemment distinctes mais en réalité tout à fait complémentaires:
- le processus "fondamental" qu'est la dilution qui va générer des champs physiques et créer des trous blancs
- le côté amélioration, qu'est la succussion qui va augmenter la puissance de l'onde rémanente.
Vous avez maintenant quasiment tout compris.

Voici les trous blancs vus par les enfants :
Ils ne sont pas seulement de couleurs différentes, ils sont aussi de poids différents.
Comme vous l'avez compris, et c'est volontairement que l'on ne l'a pas dit avant, les trous blancs ne contiennent pas de matière. En cela ils s'opposent aux trous noirs des astrophysiciens qui eux, au contraire, sont hyperdenses. C'est ce que les enfants ont voulu imager.



MESURES PRATIQUES.

Nous avons vu la théorie et avons envisager les possibilités technologiques de mesurer les conséquences du phénomène.
Voilà un exemple réel. Là encore, on a déjà vu la décomposition dilution-succussion. Ici c'est une comparaison transversale entre méthodes de dilution-dynamisation. Cette séquence se divise en 3, les solutions ayant été préparées à partir du même flacon originel et les dilutions ayant été faites avec le même lot d'eau.
Sur cette figure vous avez:
- en violet une dilution banale au vortex,
la courbe rouge, qui correspond au processus classique de la solution dite Hahnemannienne, classée franchement chaotique, comme on disait jusqu'à présent,
- en bleu vert, toujours la même solution, mais "montée", comme disent les homéopathes, par la méthode Korsakovienne.
D'emblée, il est clair que cela parait vraiment différent. Jusqu'à une date récente, on pouvait simplement le dire en le regardant. Il manquait le moyen d'exploiter ce type de tracé dit chaotique ou semi-chaotique, chaotique déterministe car quelques fois en refaisant la même solution on retrouvait les mêmes pics aux mêmes endroits, chaotique probabiliste parce qu'une même solution ne semblait pas donner le même pic qu'une autre solution.
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On restait quand même sans outil véritable d'appréhension du phénomène.
La solution est maintenant apportée. Nous en avons déjà parlé au niveau des schémas. A partir de la théorie quantique des champs relativistes, le modèle prévoit l'influence de la gravitation.

La gravitation, comme le disait Einstein, c'est la courbure de l'espace temps. Si tel est le cas, toutes ces équations décrites et ces mesures terminales faites sur des apparences ont une réalité utilisable pour nous, il doit bien avoir au niveau de l'homme, qui fabrique des trous blancs - on verra comment on le déduit par analogie - une relation entre les variations gravitationnelles, que l'on sait calculer, et les pathologies.
Il est vrai que l'onde rémanente peut influencer la matière vivante comme on l'a vu tout à l'heure. Effectivement et c'est ce que montrent les variations de fréquence des lésions vasculaires cérébrales en fonction des périodes de l'année .
Ces données, que vous connaissez peut être d'ailleurs, nous sont étrangères (c'est l'aspect des travaux relatifs à la re-interprétation des résultats publiés dans nombreux articles que nous faisons actuellement). Vous avez en rouge la composante Fz de la gravitation, et la méthode de comparaison par le cosinor. Vous voyez qu'il y a une relation entre les variations gravitationnelles, auxquelles on ne peut échapper sur terre ni ailleurs, et les pathologies .

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Cette analogie a un sens, c'est-à-dire que, si ce que l'on a décrit, mathématisé et formulé au niveau des solutions dites in vitro se produit effectivement in vivo, on doit trouver les mêmes traces que celles présentées tout à l'heure. On doit avoir une modification des temps de relaxation au niveau des liquides, sérums, urines... et on doit avoir également émission de rayonnements Bêta négatifs de faible énergie. Nous avons pu montrer tout cela directement mais, ici, nous avons illustré l'émission des rayonnements Bêta par des travaux très anciens dans lesquels des rayonnements avaient déjà été détectés, rayonnements mis entre guillemets à l'époque, par un effet que vous connaissez peut-être tous et que l'on appelle l'Effet Kirlian.

Le très vieux cliché présenté sur cette diapo, nous l'avons traité. Pourquoi un traitement? Parce que, comme le disaient Kirlian et ses élèves, il fallait essayer de monter la tension de plus en plus haut pour que le champ électrique noircisse la plaque vraiment à fond et ceci afin d'essayer de se faire entendre. En effet, personne ne voulait regarder ce qu'ils obtenaient.
Nous, ce que nous voulions voir, ce n'était absolument pas une plaque noircie au maximum. Au contraire, nous voulions voir les nuances de l'impression photographique. Par des moyens tout fait usuels de scanning et de numérisation d'image, nous avons pu observer, même sur ce très vieux cliché, des aspects en réseau au niveau de la pulpe, de sa projection . C'est que nous recherchions, c'est-à-dire les pores de la peau.

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Des clichés récents, réalisés avec des pellicules colorées, ont montré les mêmes phénomènes. Ce qu'il faut remarquer sur ces 3 clichés , c'est la différence d'intensité de distribution de ces rayonnements Bêta moins. Pourquoi cette différence? Comme on le verra tout à l'heure à partir des résultats de certains de nos travaux personnels, les mesures que l'on effectue soit sur les sérums, soit sur les urines, soit sur tout autre liquide biologique d'un individu, sont proportionnelles à ce que vous appelez les types homéopathiques, à savoir: les carboniques, les fluoriques et les phosphoriques.

Voici le schéma du Kirlian

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Cet essai consiste à placer un champ électrique (deux électrodes: l'une sur tibia et l'autre sous le pied) un film et une protection assurée par une plaque diélectrique, à faire passer alors un champ électrique puis à observer le noircissement de la plaque.

Les rayonnements Bêta moins existent dans l'organisme et on les mesure. Si on inverse les plaques accélératrices, et certains auteurs l'ont bien décrit, l'effet Kirlian n'existe pas: aucune émission n'existe à l'emplacement du pied car le Kirlian est un accélérateur des rayons Bêta moins. Si l'on replace les électrodes dans le bon sens: anode, plaque positive en dessous du pied, on attire et on propulse les rayons Bêta moins à l'extérieur du corps et ils impressionnent la plaque photographique.

Cette vision, que l'on peut peut-être considérer comme étant anecdotique, est quand même fondamentale. Elle permet de donner une explication au Kirlian s'il en fallait une (je n'en sais rien). Elle permet aussi de comprendre le mécanisme et de valider les mesures faites au niveau des comptages des sérums, des urines et autres liquides de l'organisme.

L'autoradiographie.

Il s'agit ici de l'autoradiographie d'un pouce, c'est-à-dire d'un cliché réalisé sans application d'un champ électrique. Si des rayonnement Bêta existent, ils sortent par les pores de la peau, comme on l'a déjà deviné sur les clichés Kirlian. Nous n'avions pas d'autres hypothèses à émettre car nous avions pu mesurer les rayonnements et calculer leur longueur d'onde. Ces rayonnements ne sortent pas de la peau en tant que derme. Par contre, ils sortent parfaitement par les pores de la peau. La coloration montre des variations d'intensité, le blanc étant, par convention, les points les plus irradiés. Ce cliché représente un pouce droit posé pendant 5 minutes sur un film du commerce spécifique pour l'enregistrement des émissions Bêta de faible énergie. Un tel cliché peut naturellement être réalisé par n'importe lequel d'entre vous.

La numérisation de la photo précédente permet de quantifier l'activité émise par chaque pore pendant les 5 minutes de pose.

Cet autre cliché, qui n'a pas été réalisé par nous-mêmes, confirme expérimentalement notre modèle. Cette autoradiographie m'a été transmise par une personne qui a eu la curiosité de prendre un film de la marque indiquée dans notre ouvrage, d'y poser son pouce et m'a demandé de regarder ce qu'il y avait sur son film. Ce film était noirci et j'ai fait une intégration tridimensionnelle pour pouvoir me référer au cliché que nous avions réalisé nous-mêmes et que je vous ai présenté précédemment. Sur le cliché réalisé par cette personne on retrouve tous les petits pics et, en regardant attentivement on constate que le cliché n'est pas toujours très net mais on décèle quasiment les pores, la pulpe et l'empreinte digitale de l'individu (cercles ou tourbillons très visibles en vert-jaune).


Cliquez pour agrandir l'image Vérification.

Dans cette présentation nous passons continuellement du in vivo au in vitro et vice-versa. Ceci est volontaire. C'est pour vous faire arriver à la notion de l'espèce de continuum qui existe entre ce qui se passe dans les solutions homéopathiques et ce qui se passe dans l'organisme. Par le biais de l'apport théorique, on peut passer du in vivo au in vitro sans aucune difficulté.

Cette diapo présente les résultats obtenus en plaçant des granules imprégnés et des granules non imprégnés sur le même type de film que celui utilisé pour l'autoradiographie du pouce, la durée de l'expérience étant naturellement très supérieure à 5 minutes. Le développement de cette autoradiographie des granules a permis de mettre en évidence sur le film des tâches de noircissement (terminologie classique) correspondant uniquement aux granules imprégnés. Cette autoradiographie a été numérisée pour quantifier l'activité des granules imprégnés .

Cliquez pour agrandir l'image Enfin, les tâches de noircissement de l'autoradiographie ont pu être intégrées et l'intégration a été analysée par érosion, par un algorithme classique existant dans les logiciels de reconstitution d'images. Ce type de traitement permet de mettre en évidence, de façon assez fidèle, l'objet qui, initialement, avait été posé sur le film.
Vérification in vivo, vérification in vitro. Nous avons pratiquement été jusqu'au bout. Nous assimilons donc le fonctionnement de l'organisme au niveau de ses régulations à la régulation d'une onde qui résulte de l'ensemble des dématérialisations d'où: onde résultante rémanente de tout organisme.

Vous concevez immédiatement l'approche thérapeutique: vous allez manipuler des ondes que vous allez fabriquer en dématérialisant des produits spécifiques et allez les combiner au niveau des organismes de telle façon qu'il y ait interruption, opposition de phases ou amplification des ondes rémanentes de ce même organisme.

Le cliché suivant présente les résultats de nombreux comptages de rayonnements Bêta réalisés sur des sérums appartenant à différents types homéopathiques.
- des carboniques thuyas avec 50 000 coups/min ce qui n'est quand même pas négligeable.
- des fluoriques qui, par contre, se situent en général autour de 30 000 coups/min,
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- des phosphoriques qui se situent autour de 21 000 coups/min, les phosphoriques ayant toujours eu le moins bon des nombreux comptages de rayonnements Bêta effectués dans le cadre de ces expériences.

Cliquez pour agrandir l'image Si ces rayonnements Bêta moins existent, et je pense que maintenant la réponse ne peut-être que OUI, ils transitent dans l'organisme. On connaît leur longueur d'onde qui est inférieure à 10 nanomètre et, hasard ou pas, est capable, par la plupart de ses composantes, d'interagir avec les structures de l'ADN, c'est-à-dire avec la conformation d'hélice de l'ADN. Si ces ondes sont capables de réagir avec l'ADN, l'ADN peut-être vue comme une antenne réceptrice de ces radiations, c'est-à-dire de ces ondes rémanentes. Si tel est le cas on va trouver des systèmes optiques au niveau nucléaire. En effet, des faisceaux d'ondes ne peuvent pas arriver comme cela, arriver de toute part de l'espace, des parois nucléaires pour irradier l'ADN. Vu les fréquences en jeu, cela entraînerait immanquablement une explosion de l'antenne c'est-à-dire de l'hélice de l'ADN.
Nous avons donc recherché dans la littérature si, au niveau des noyaux, il existait des types de régulation appelées optiques. Effectivement, je ne sais pas si je vous l'apprends mais, personnellement, pendant mes études médicales et même après, j'ai regardé de nombreux clichés de microscopie électronique et je ne me suis jamais rendu compte que le noyau était en fait un véritable gruyère. Comme vous le voyez sur ce cliché , le noyau est composé de bien plus de trous que de murs. Chacun de ces trous est muni d'un diaphragme qui fonctionne strictement comme le diaphragme que vous utilisez sur votre appareil photographique. Nous avons pu montrer sur différents clichés, pris bien sûr dans la littérature car ce n'est pas nous qui les faisons (on regarde dans des gros livres et on en trouve plein) que le diamètre des trous varie d'un organe à l'autre. Les variétés de trous sont également très grandes dans les diverses pathologies.
Le seul commentaire que nous ayons trouvé dans un ouvrage de plus de 1000 pages traitant d'Anatomopathologie par microscopie électronique est le suivant: on a noté que certains noyaux avaient des trous et des diaphragmes. Ce commentaire figure dans l'une des premières pages de l'ouvrage et ensuite il n'est plus fait mention ni des trous ni des diaphragmes.
L'image que nous présentons n'avait pas été faite pour étudier les noyaux mais pour localiser les mitochondries.

Réalisé à un grossissement supérieur à celui de la précédente, ce cliché met bien en évidence le diaphragme qui se trouve dans les trous des noyaux.

La figure suivante présente la reconstitution d'un noyau réalisée, avec un peu de calcul, à partir du cliché d'un noyau réel pris en microscopie électronique. Cette reconstitution a été faite pour imager l'arrivée de tous les rayonnements que nous avons décrits, prévus, calculés et mesurés au niveau de l'ADN, l'arrivée de ces rayonnements (représentés par les lignes droites convergeant vers le centre du cliché) se faisant via les parois nucléaires.

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S'il est vrai que des rayonnements Bêta sont fabriqués et arrivent au niveau du noyau et sont filtrés, ils doivent néanmoins provoquer des vibrations au niveau de l'ADN, c'est-à-dire que l'ADN ne doit pas être une hélice bien figée. Effectivement, sur des cultures de cellules, l'ADN a l'aspect présenté sur le cliché . Dès lors que les cellules sont vivantes, l'ADN est en vibration permanente comme l'ont dit les auteurs sans toutefois pouvoir expliquer pourquoi. Le cliché présente en fait un brin de l'ADN qui est photographié avec des temps d'image très très courts qui donnent cet aspect de multi-brins. Notre interprétation a très bien été appréciée par les biologistes moléculaires que je connais, car cela leur ouvre des horizons du point de vue de la modélisation. Ces biologistes n'ont rien à voir avec les homéopathes, ils en sont même souvent très éloignés, mais leurs gros problèmes étaient de savoir ce qu'il y a avant le dogme génétique, de savoir pourquoi l'ADN, même si on l'immobilise au niveau des extractions et qu'on le cristallise, présente parfois ce qu'ils appellent des cordes à piano; il y a des noeuds.

Si un autre jour, on prend d'autres cellules et on refait la même expérience, on retrouve à nouveau des noeuds mais ils sont différents. On dirait qu'il y a une autre onde, mot qu'ils avaient d'ailleurs déjà dans la bouche. C'est pourquoi notre modèle leur est apparu comme étant extrêmement fertile pour eux dès à présent.

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CONCLUSIONS.
 
En conclusion, ce petit travail qui tient en peu de pages comme on nous l'a dit, apporte, à notre avis, mais c'est à vous d'en juger, un certain nombre de points qui peuvent être considérés comme fondamentaux non seulement pour les solutions homéopathiques mais aussi, et d'une façon encore plus importante d'après les réactions que nous eu de la part de scientifiques, pour les biologistes moléculaires, le modèle de la matière animée que nous avons présenté leur permettant d'avoir un début dans l'ADN. En effet, c'est bien beau de parler de l'ADN, mais actuellement, il n'y a rien avant. Comment est-ce possible? Comment peut-on fabriquer telle ou telle protéine à partir d'un fragment d'ADN s'il n'y a pas eu d'ordre de fabrication?. Pourquoi l'ADN qui est le même dans toutes les cellules, n'exprime pas les mêmes facteurs suivant sa position spatio-temporelle?

Cela relève de la vision quantique du phénomène qui a été mise en équation par Henri Berliocchi et permet de modéliser. Bien sûr, il reste encore beaucoup de travail expérimental à faire.

Nous pensons vous avoir apporter des bases relativement solides.